Les lampes de Michel Lilor n° 4500 |
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Lampe-tempête à essence Lilor n° 4500 Année de production : 1925 environ.
Catalogue 1925 Cette lampe à essence à deux manchons annonce une puissance de 300 cp. Le haut du brûleur reçoit la vis de fixation du capot supérieur.
Réflecteur de lumière, émaillé Construite en laiton pour l'essentiel, elle est dotée d'un réflecteur émaillé blanc, sur lequel est inscrite la marque "Lilor Paris".
Brûleur double, pour deux manchons La lampe est fermée par un cylindre en mica qui présente une ouverture circulaire pour l'allumage.
Les deux manettes La lampe a deux manettes séparées : - la manette supérieure commande l'aiguille de nettoyage de la buse par l'intermédiaire d'un petit excentrique qui la fait monter et descendre ; - la grosse manette en bakélite noire ouvre ou ferme l'arrivée de l'essence sous pression.
Préchauffage à la taupette à alcool Le préchauffage de la lampe se fait par l'intermédiaire d'une taupette trempée dans l'alcool, enflammée et introduite au contact du bas du brûleur dans le logement à la base de la lampe. Ensuite il suffit d'ouvrir les gaz et d'allumer les manchons par le trou prévu dans le mica.
La Lilor 4500 avec sa pompe Cette lampe n'a pas de pompe intégrée. Il faut se munir d'une petite pompe extérieure pour la mettre en pression. Il n'y a pas non plus de manomètre de pression, et le bouchon de remplissage du carburant sert classiquement de soupape de décompression. Un verre de Coleman 220 lui convient à peu près dans l'attente d'un cylindre en mica.
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